En quelques mots (12)

    Parce qu’on n’a pas toujours le temps, ni l’envie de faire une chronique complète.

    Tout d’abord, un roman que j’ai lu assez facilement.

Mais il ne m’en reste quasiment rien au moment où je vous en parle. Zoé a dix-sept ans et une de ses amies de classe va lui proposer des vacances en apparence paradisiaque. En échange de ce voyage en Grèce, elle lui demande de s’occuper de son petit neveu. Zoé, curieuse de ce voyage et heureuse de la marque de confiance, accepte. Mais quand elle arrive dans la famille de Lise, Zoé comprend que ce n’est pas vraiment un cadeau qu’on lui fait. Et sa présence ne semble pas acceptée par tous.

    Je n’ai pas été convaincue par grand chose. Ni le motif réel de sa présence, ni son implication dans la garde de l’enfant. Il y a finalement peu de choses là-dessus. Les allusions à ses problèmes de famille ne m’ont pas touchée plus que cela. Et la relation avec le père de l’enfant, non plus. J’ai bien eu un petit regain d’intérêt à un moment mais j’ai peiné à le finir. Chose que je n’ai faite que parce qu’il faisait partie de l’opération des 68 premières fois. Un rendez-vous raté. Mais ça arrive.

    Ensuite un roman qui m’a séduite par son titre, je dois le reconnaître.

    Mais aussi parce que j’ai espéré passer un aussi bon moment qu’avec celui de Raphaëlle Giordano. Un ouvrage à mi-chemin entre le roman et le guide de développement personnel. J’avoue, ces derniers temps, j’ai eu envie de choses fraîches, sans prise de tête et me donnant de l’énergie.

    Marcus et sa femme Isabelle sont tombés dans une sorte de routine. Ils ne sont pas malheureux, mais pas franchement heureux non plus. Englués. Alors avec la rencontre de cet homme mystérieux et les messages curieux que Marcus commence à recevoir, se crée un déclic. Il en faut peu, chaque jour, pour rebooster son quotidien et être heureux.

    Je dois avouer ne pas avoir réussi à passer la moitié du livre. La trame narrative me semble juste un prétexte à donner des leçons de bien-être. Dans ce cas, je pense que j’aurais préféré lire un guide. Même le fait de savoir qui pouvait bien mettre ses messages mystérieux ne m’a pas incité à lire jusqu’au bout.

     J’en suis navrée car j’avais sollicité la maison d’éditions pour lire ce livre au titre délicieux et poétique. Ne me demandez pas pourquoi il s’appelle ainsi… je n’ai pas suffisamment lu pour le comprendre.