Une toute petite lecture pour boucler l’année et boucler le challenge « Un classique par mois ». Une toute petite lecture qui précède le billet sur un roman jeunesse qui s’en est inspirée et que j’ai beaucoup aimée. Nouvelle tout d’abord publiée dans un journal, elle est ensuite publiée en recueil en 1866.
Cette nouvelle raconte l’idée qu’eut un dénommé Durandeau de proposer à des jolies femmes, le service d’autres femmes plus laides afin de leur servir de faire-valoir. Cette très courte nouvelle fait la critique de la vanité des gens, de leur capacité à vouloir tout acheter, tout monnayer.
On y lit la difficulté de Durandeau à recruter des femmes laides, celles-ci ayant du mal à franchir le pas de s’avouer leur laideur. Par contre, une fois les femmes recrutées, il n’a aucun mal à trouver des personnes prêtes à se payer un tel accessoire dans l’espoir que ce subterfuge les fasse davantage remarquer.
Et comment le vivent ces fameux repoussoirs ? C’est ce dont traite le dernier petit chapitre… Il n’est pas facile de monnayer même sa laideur…
A mardi pour la chronique du roman qui s’en est inspiré.
Rien de tel qu’un petit Zola pour achever l’année !
Tout à fait !!
Elle me tente bien cette nouvelle, alors que je n’accroche pas facilement à Zola. Je note 🙂
Moi je suis fan de Zola 😉
En 2014, je me lance dans ce défi !!! J’ai envie de relire des classiques.
Je suis ravie !!
Je ne connais cette nouvelle … merci d’en parler je vais essayer de la trouver.
Soit à la fin du très bon roman jeunesse « Belle époque » qui s’en inspire directement, soit dans les recueils de contes et nouvelles publiées chez GF. Ou en ligne puisque c’est un texte libre de droit. Bonne lecture !
Bonjour,
Pouvez-vous faire un résumé du chapitre 3 et 4 « les repoussoirs » Emile Zola.
Merci.
Valentin
Avec 10 euros et un mars ? Sinon, je peux aussi me taper votre travail à votre place. C’est une nouvelle vraiment courte… Au boulot !