Partager la publication "Frères de terroirs – Carnet de Croqueurs – Ferrandez et Camdeborde"
Faites se rencontrer un auteur BD et un grand chef de la gastronomie et vous aurez Frères de terroir. Dans cette BD-reportage, vous en prendrez plein les mirettes et plein les papilles. Ferrandez a suivi Yves Camdeborde parmi tous ses producteurs : maraîchers, vignerons, bouchers. On y découvre la vie du terroir, on nous sensibilise à l’importance de la qualité de ce que l’on consomme. Le dessin est vif, les traits sont secs. Le trait de Ferrandez, on l’aime ou pas. Personnellement, je trouve qu’il se prête vraiment bien à ce qu’il raconte. On suit toutes ses personnes avec plaisir, on découvre la vie des producteurs, comme une somme de mini-reportages. J’ai d’ailleurs particulièrement aimé celui sur la coutellerie (je n’y connaissais pas grand chose) et celui sur les courgettes de La Bocca – près de Cannes, la région qui m’a vu grandir.
De plus, j’ai eu la chance d’être invitée par la maison d’édition à une soirée de lancement de cette BD. Et là, chers lecteurs, je crois pouvoir dire que c’était divin. Les producteurs de la BD étaient là, des cuisiniers aussi. Et le buffet était à la fois très fin et gargantuesque. Nous avons pu goûter mets et recettes mis en avant dans la BD : foie gras sur pain au maïs, huîtres au riz de veau, joue de boeuf, soupe de poissons, fromages et charcuterie de pays, sans vous parler du vin ! Tout cela dans un accueil et une bonne humeur hors du commun ! Un régal des sens, sans compter que la soirée était un vivier de beaux hommes. Oups…
Je vous laisse visualiser à quel point, je me sacrifie pour mes lecteurs.
Quel sens du sacrifice Stephie ! Je t’admire ! Comment fait-on quand ta chronique donne faim ?
J’espère que tu as mangé depuis, hi hi !
Sauf que j’ai TOUJOURS faim.
Ah dans ce cas… 😉
Il faut savoir se sacrifier, c est évident 🙂
Et mon sens du sacrifice n’a pas de limite 😉
J’aime particulièrement les BD reportage.
Je trouve ça très intéressant également 😉
J’aime le trait de Ferrandez. Je ne sais pas si je lirai l’album mais j’aurais aimé assister à la soirée de lancement !
Je pense, en effet, que tu n’aurais pas boudé ton plaisir 🙂
Tu as le sens du sacrifice !! ^^ Quelle belle idée en tout cas. Cela me rappelle « Les ignorants » de Davodeau, et je me laisserais bien tenter 🙂
Oui c’est un peu le même principe que Davodeau mais le traitement est forcément différent. Et pour mon sens du sacrifice, pfiou, si tu savais
Purée cette soirée… ça a des avantages d’être sur la région parisienne (grumbl ^^). Bon, j’hésite à lire cet ouvrage. Entre « En cuisine avec Alain Passart », « Les Ignorants », « Chroniques de la vigne »… tout cela n’est pas très bon pour ma ligne 😛
C’est vrai que c’est à la mode. Et cette soirée ! J’avais même Nagui et Vincent Ferniot 🙂
Je confirme, la soirée était top. Mention spéciale à l’andouillette, la meilleure que j’ai mangée de ma vie et aux huîtres. Ce fut bon. 🙂
Ah oui ! L’andouillette et l’autre truc, là, dont j’ai oublié le nom. Tu fais ton coming-out, au fait, finalement ? 🙂
Le galabar. Un mets divin.
Mille mercis !
Je vois qu’on ne s’ennuie pas ! 😉
Jamais 😉
Tu m’as donné faim ! 🙂
hi hi 😉
Il y en a qui ne s’embêtent pas !! Le sujet m’intéresse, j’espère qu’elle arrivera jusqu’à la bibliothèque cette BD, mais je doute qu’il y ait des échantillons avec 😉
Ah oui pour les échantillons, c’est pas gagné 😉
Ton sacrifice est effectivement sans bornes. Mouah ah ah !!
J’aime que toi aussi, tu mesures ce sens très développé chez moi 🙂