Après avoir aimé Ne le dis à personne mais m’être ennuyée à la lecture de Promets-moi, j’ai été intéressée par l’offre des Editions Belfond de lire le dernier Harlan Coben.
De quoi ça parle :
Ce roman propose une nouvelle aventure du personnage récurrent de Coben : Myron. Ancien sportif, il gère, entouré d’employés atypiques, une agence de relations publiques.
Quand Terese, dont il n’a pas eu de nouvelles depuis sept ans, l’appelle à son secours, Myron prend le premier avion pour rejoindre la belle à Paris. Mais si Paris est la ville des amoureux, Myron n’aura pas vraiment le temps d’en faire l’expérience puisque les ennuis vont s’enchaîner sans relâche. Qu’est-il arrivé à l’ex-mari de Terese ? Pourquoi est-elle elle-même en danger ? Et pourquoi tout ceci semble-t-il intéresser à la fois CIA, Interpol et Mossad ?
Ce que j’en ai pensé :
J’ai pris du plaisir à le lire, sans conteste. C’est péchu, on a envie de tourner les pages et les petites blagues qui jalonnent le roman m’ont bien fait sourire. L’intrigue est bien menée, on s’interroge et on a envie de connaître la fin. Je ne pourrais vous dire si le suspens est bien préservé car je ne trouve jamais les fins des polars. Et d’ailleurs, j’aime ça, hein.
La seule vraie réserve que j’ai en lisant Coben finalement, c’est le style d’écriture qui est vraiment pauvre et simpliste. Je sais bien que c’est de la lecture grand public mais malgré tout un peu de style ne fait de mal à personne, je pense.
21 réflexions au sujet de “Sans laisser d’adresse d’Harlan Coben”