Le premier tome m’avait vraiment touchée, un roman pour la jeunesse à la vraie fraîcheur de l’adolescence où on grandit, on apprend à aimer mais aussi à s’aimer car c’est l’époque des grands bouleversements. Je viens de faire une phrase belle comme du… Johnny Halliday (merde, y a un copyright… pis d’une blogueuse influente en plus).
En bref, ma copine Noukette étant une documentaliste de la mort qui tue (pis elle a dans son équipe au moins une prof de français qui assure et aime à croire qu’elle est de bon conseil – oui, aujourd’hui c’est parenthèse (copyright Fashion-) et petits caractères) qui commande les bons livres et que ma copine Lasardine avait la même envie que moi : bingo, lecture du deuxième. Je sais, ma vie livresque est passionnante et je me dis chaque jour que vous n’en profitez pas assez…
Bon allez, oh, on est sur un blog sérieux, là. Si je veux gagner « miss blog 2024 », faut que je me remobilise.
ATTENTION, RISQUE DE SPOILER (depuis le temps que je rêvais de le faire), non c’est pas vrai, pour espérer le titre de miss blog, il ne faut pas spoiler le gentil lecteur qui te fait l’honneur de venir lire ton avis, délicieusement écrit et balancé. Bon, vous attendez que je commence à parler du livre peut-être… ou peut-être pas d’ailleurs. Le truc c’est que j’ai un peu peur en ce moment, peur d’être plagiée… Allez, je prends tout mon courage à deux mains et j’y vais !
On retrouve donc Belly, l’été suivant. L’année a été rude : ce que l’on craignait pour Susannah est arrivé, ses relations avec Conrad sont toujours aussi compliquées et puis il y a aussi Jérémiah… D’ailleurs, c’est vers elle qu’il se tourne quand Conrad disparaît, magré tout ce qui s’est passé. Alors, contre toute attente, les voilà repartis vers Cousins, le lieu de leurs vacances d’été depuis toujours. Là où Belly pensait qu’elle ne retournerait plus jamais.
Non, sérieusement, j’en ai fini de mes facéties de début de billet (même si j’y prends goût – oups encore une parenthèse), lisez le premier tome si ce n’est déjà fait et enchaînez avec celui-ci. Pas d’histoire à grand rebondissement, juste l’histoire d’une chouette ado comme on aimerait qu’il en en existe davantage. Juste une petite musique de fond qui s’installe dans votre tête et qui vous fait tourner les pages sans réfléchir. C’est doux, c’est frais mais pas niais. On se surprend même à vouloir pendant quelques heures être encore un petit peu ado (mais pas plus, à cause de l’acné, of course). Vivement le dernier tome !
L’avis de Lasardine est ICI
21 réflexions au sujet de “L’été où je t’ai retrouvé de Jenny Han”