Oui, je sais, je suis faible. Peu de temps s’est écoulé depuis mon dernier Indridason… Je n’ai pas pu résister. Le drame maintenant ? Il va falloir attendre le suivant.
De quoi ça parle :
Tout commence par un suicide. Maria est retrouvée pendue dans son chalet de vacances. L’amie qui l’a retrouvée ne peut croire à un banal suicide. L’enquête du légiste est pourtant formelle : pas de trace de lutte, aucune blessure. Et elle est bien morte étranglée par la corde. Les proches peinent souvent à croire au suicide des leurs. Mais pour des raisons très personnelles finalement, Erlendur va s’intéresser de très près à ce qui a pu pousser cette femme à commettre ce geste. Dans le même temps, son obsession pour les disparitions ne faiblit pas et va l’emmener bien loin…
Ce que j’en ai pensé :
Ce roman est vraiment très différent des autres puisqu’il ne s’appuie finalement pas sur un meurtre. Et pourtant, je dois dire que je l’ai dévoré. Pourquoi ? Je pense que j’ai aimé ce nouveau souffle dans la série. Ce roman est presque une pause finalement car il s’appuie davantage sur le personnage d’Erlendur et on en apprend beaucoup plus sur lui et ses proches, sur la disparition de son frère également.
On y croise donc à peine Sigurdur Oli et Elinborg et on se délecte sur 300 pages de ce grognon d’Erlendur. Ce personnage me touche de plus en plus et j’ai vraiment hâte de connaître la suite de ses aventures.
28 réflexions au sujet de “Hypothermie d’Arnaldur Indridason”