Voilà un petit retour en bande dessinée, et ce encore une fois grâce aux rayons bien achalandés de la médiathèque de ma ville.
De quoi ça parle :
L’histoire se déroule à Glasgow. Un meurtrier en série sévit dans les rues : il tue des femmes qu’il a au préalable déshabillées et dont il laisse le cadavre accompagné d’un poupon en plastique.
Parallèlement, on suit l’histoire d’un directeur éditorial, Simon qui, au milieu de ses nombreuses relectures de manuscrits, essaie d’écrire son propre roman. C’est d’ailleurs l’objet de moquerie de Gwen, son ancienne petite amie, qui ne cesse de lui dire qu’il en est incapable.
Mais un jour, une vieille dame vient lui demander des nouvelles d’un manuscrit qu’elle lui a déposé et qui serait l’oeuvre d’un ancien parent. Il promet de le lire et congédie la dame. Celle-ci se fait renverser par un camion en sortant et décède.
Simon finit par lire le manuscrit, le trouve excellent et le traduit. Pour plaire à Gwen, il va même s’en attribuer la paternité. Mais cela ne sera pas sans contrepartie…
Ce que j’en ai pensé :
N’y allons pas par quatre chemins, j’ai adoré. L’histoire est palpitante et je vais très vite lire le deuxième que j’avais emprunté dans la foulée mais également courir emprunter la suite.
J’ai beaucoup aimé les dessins mais également le scénario qui croise une histoire autour de l’édition et une autre autour de meurtres en série.
Comme le titre le laisse présager, il y en a dix. Et le titre n’est pas innocent mais je préfère vous laisser la découverte de ses motivations.
Un autre avis chez Jelydragon.
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