Partager la publication "L’avant-dernière chance de Caroline Vermalle"
Il y a des romans qui ne fleurissent pas sur les tables des libraires et c’est un tort. Car ce genre de roman donne au lecteur tout ce dont il a besoin : de la joie, de la tristesse, de jolis mots, la vie quoi.
De quoi ça parle :
C’est l’histoire d’un homme de quatre-vingt trois ans, Georges, qui se lance un pari fou : faire un Tour de France en voiture avec son voisin Charles. Sa collante et envahissante fille étant partie pour un trek au Pérou, c’est l’occasion pour lui de s’évader un peu et de vivre enfin ce dont il a envie.
Mais c’était sans compter le coup de téléphone de sa petite-fille Adèle. Coup de téléphone qui arrive après bien des années où la jeune fille a à peine pris des nouvelles du vieil homme. Elle est sur le tournage d’un film à Londres et sa mère lui a fait promettre d’appeler et de veiller sur le grand-père.
Va alors commencer un joyeux périple pour les deux hommes, entrecoupé des textos que Georges et adèle vont s’envoyer. Des textos qui arriveront à la jeune femme, quoi qu’il puisse arriver…
Ce que j’en ai pensé :
J’ai tout bonnement adoré ce magnifique roman. Et je voudrais presque m’arrêter là en vous disant de filer vous le procurer pour vous faire votre propre avis.
Mes mots n’arriveront pas à dire le bonheur que procurent ces pages. Les personnages y sont attachants, sensibles et semblent si vrais. L’écriture est à la fois vive et précise. C’est un bijou, je ne sais pas quoi dire d’autre. Ah si je n’avais pas autant pleuré depuis ma lecture de La promesse de l’aube de Romain Gary quand on découvre comment il a été possible qu’il reçoive des lettres de sa mère quand il était au front.
Je remercie Caroline Vermalle d’avoir eu la gentillesse de me faire parvenir son livre.
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