On les reconnaît de loin les jolies couvertures de la collection Black Moon. Et bien que je doive reconnaître que j’ai passé l’âge de ce qu’ils contiennent, ils exercent sur moi une forte attraction…
De quoi ça parle :
Ivy croit profondément aux anges et possède plusieurs figurines qui les représente. Dans toutes les douloureuses étapes de sa vie, elle les invoque, persuadée de leur rôle dans sa vie.
Ivy et son frère voient leur vie changer puisque leur mère se remarie et s’installe avec un homme dont le fils a également l’âge d’Yvy et se nomme Grégory. Et ce dernier a souvent un caractère très étrange.
Comme dans tout livre pour adolescent, il ne faut pas oublier l’ingrédient majeur : l’amour. Et celui-ci surgit en la personne de Tristan, l’adolescent bien sous tous rapports, charmant au possible et qui n’aura d’yeux que pour notre héroïne.
Mais les choses vont bien évidemment se gâcher et des coeurs seront irrémédiablement brisés.
Ce que j’en ai pensé :
Le premier conseil que je vous donne c’est de ne surtout pas lire la quatrième de couverture. En effet, je pense que c’est ce qui a le plus gâché ma lecture. En effet, celle-ci révèle le contenu entier du livre. Alors quand vous pensez que ce que vous lisez n’est que le résumé du début de l’intrigue, eh bien le temps vous semble long.
Hormis cela, c’est un livre sympathique qui fera battre sans aucun doute le coeur des ados et leur tirera même quelques larmes au passage. Je marquerai un petit bémol quant à la manière dont tout ce qui concerne les anges est amenée au début. Ce n’est que dans le dernier tiers du livre, finalement, que c’est réellement exploité. Ce livre étant le premier d’une trilogie, je pense qu’il servait d’amorce à l’intrigue qui semble s’amorcer à la fin de cet opus.
En tout cas, si je lis le suivant, je ne jetterai pas un seul oeil à la quatrième de couverture.
Vous trouverez aussi en ligne l’avis de Pimprenelle.
Merci à Cécile des Editions Hachette Jeunesse de m’en avoir proposé la découverte.
23 réflexions au sujet de “Le baiser de l’ange d’Elizabeth Chandler”