Je vais avoir du mal à vous parler de ce livre, notamment car je ne l’a pas lu en entier. Et pourtant, il ne fait que 168 pages et je dois confesser en avoir sauté une cinquantaine pour lire la fin.
Je remercie tout de même les Editions de l’Harmattan et l’attachée de presse chargée de la promotion de ce livre de m’en avoir proposé la découverte.
De quoi ça parle :
C’est l’histoire d’une enfant qui vit ses jeunes années dans une ferme isolée en Algérie dans les années 1939-1945.
Ce récit est constitué de courts chapitres qui font le récit du quotidien de l’enfant au milieu des siens ainsi que des facéties perpétrées avec ses amies.
La quatrième de couverture dit : « L’enfant comprend à sa façon une histoire qui la dépasse et va pressentir les signes avant-coureurs de l’orage qui bouleversera le fragile équilibre de son monde. »
Ce que j’en ai pensé :
J’ai beaucoup aimé les vingt premières pages d’où émanaient beaucoup de poésie et une syntaxe des plus travaillées et agréables. Puis je dois avouer ne pas avoir du tout accroché à la matière du récit. Je suis restée en marge de ce qui se racontait dans ce livre, ne trouvant aucun intérêt à ce que j’ai lu comme une succession d’anecdotes.
Si la plume ne m’a pas laissée indifférente, je n’ai jamais embarqué dans l’histoire des personnages. Et après avoir peiné trois jours pour lire 110 pages, j’ai opéré une coupe franche et lu les toutes dernières pages. Et cela ne m’a pas donné envie de repartir en arrière lire ce que j’avais manqué.
Je suis désolée de ce rendez-vous manqué mais cela arrive qu’un lecteur n’accroche pas avec un livre, ce qui ne remet nullement en cause la qualité du dit livre.
Si quelqu’un souhaite le lire pour se faire sa propre opinion, je le ferai parvenir avec grand plaisir.
Voyons ce qu’en a pensé Leiloona qui l’a lu en même temps que moi.
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