Petit billet rapide ce dimanche car je suis au festival d’Avignon et que j’ai, comme qui dirait, d’autres chats à fouetter. Mais on ne zappe pas la LECTURE DU DIMANCHE.
De quoi ça parle :
Exceptionnellement, je ne fais pas le résumé moi-même mais vous mets le pitch de la 4e de couverture.
« Eté 1816. La frégate La Méduse s’échoue au large des côtes africaines.
Sur les cent quarante-sept passagers qui vont alors dériver sur un
radeau de fortune, seuls quinze survivront à ce véritable enfer. L’un
deux est recueilli par une tribu, et fait une découverte qui pourrait
bouleverser l’ordre du monde si elle venait à tomber entre de mauvaises
mains. Une découverte qui ramène aux sources du monothéisme et du
langage. De retour en France, devenu éditeur au Palais Royal, il couche
son secret sur un manuscrit qu’il fait disparaître, puis publie le
récit du naufrage. Aujourd’hui. Le Terrible, un sous-marin nucléaire,
disparaît au Moyen-Orient. Le groupe terroriste » Jéricho » revendique
le détournement et menace l’Etat français. Alors que l’ultimatum
approche, des agents secrets sont lâchés dans Paris et un tueur
psychopathe rôde alentour. Au Louvre. non loin du Radeau de la Méduse,
la célèbre toile de Théodore Géricault, un guide est retrouvé décapité.
Le lieutenant Lazare, amateur d’art fraîchement promu à la Brigade
criminelle, tient là de quoi faire ses preuves. Comme le lui disait son
père, » Lazare, dans la vie, il n’y a pas de hasard « .
Ce que j’en ai pensé :
Tout d’abord, je me suis demandée tout le long si je terminerais ce roman. Et je dois avouer que j’ai craqué 50 pages avant la fin et ne suis pas allée au bout.
Pourquoi ? L’intrigue me branchait pourtant drôlement et le style d’écriture est tout ce qu’il y a des lus agréables. Je pense que pour ma part, c’était trop touffu. Beaucoup d’éléments se croisent et s’imbriquent et je n’ai jamais compris tous les liens qui unissaient les différentes histoires. J’ai eu du mal à mémoriser les différents personnages que j’ai trouvés nombreux également.
Peut-être la solution se trouvait-elle à la fin… J’avoue que je n’ai pas eu le courage (ni trop le temps d’ailleurs) de poursuivre l’aventure jusqu’au bout.
Je vous conseille d’aller lire l’avis de Pimprenelle qui aura à mon avis fait les choses mieux que moi. Si vous avez lu ce livre, mettez-moi votre lien en commentaire, j’éditerai à mon retour.
Merci aux Editions First et au site Chez les Filles grâce à qui j’ai découvert ce roman.
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