Parfois, on n’accroche pas…

    Ce premier livre, Alice Kahn de Pauline Klein est un  de Mirontaine. Très court, je l’ai lu jusqu’au bout. Mais je pense être complètement passée à côté.

    C’est l’histoire d’une jeune femme qui, insatisfaite de la sienne, se crée des vies, des identités et vit au travers d’elles. elle va d’ailleurs fréquenter un homme auprès duquel elle se fait passer pour une autre jeune femme (là, d’ailleurs je n’ai pas tout compris, mais bon…) Si la plume est très jolie et que le sujet de cette femme qui s’invente une autre vie que la sienne avait tout pour m’intéresser, je ne peux expliquer pourquoi je ne suis jamais vraiment entrée dans ce roman qui n’a été terminé qu’en raison de son tout petit nombre de pages.

     Le second, L’astronome aveugle d’Anne-Catherine Blanc avait lui aussi tout pour me plaire. C’est Marie qui en a fait un  et malgré une plume splendide et poétique, des personnages bien campés, il m’a été impossible de le terminer. J’ai essayé pendant presque trois semaines de m’y remettre et à chaque fois, il m’est tombé des mains. 

    L’astronome du roi est devenu aveugle, alors il part sur les routes avec son chat, afin de retrouver sa propre vérité. Après avoir vagabondé et vécu dans la misère, quelques temps, il va rencontrer un gardien de phare avec lequel commence une grande amitié.

    J’avais lu énormément d’avis positifs et je ne sais pourquoi ce n’est pas passé. Le mauvais moment, peut-être.

    Ces deux romans ont donc repris leur envol à leur où paraît ce billet.