Cette dernière lecture vient d’un article lu sur le blog de Leiloona, qui a en plus eu la gentillesse de me le prêter.
Ce qui s’y passe :
La trame est historique, purement exacte. Gallo se contente d’y rajouter un narrateur, ambassadeur de Venise à la Cour du Roi-Soleil.
Le Roi a découvert que son royaume semble perverti par des pratiques à l’encontre de la religion : poisons, cérémonials diaboliques, avortements… Il décide donc de créer la Chambre ardente, commission en charge de faire le clair sur cette situation. A travers les recherches de Nicolas Gabriel de la Reynie, en charge de cette Chambre ardente, on va découvrir ce que cache le faste du règne : les complots mais aussi les supplices. en effet, si l’on frémit devant certaines pratiques, on frémit également sur les méthodes employées pour obtenir des aveux.
Ce que j’en pense :
Ce qui m’a donné envie de lire ce livre, c’est la période historique. De ce point de vue-là, je n’ai pas été lésée car j’ai appris des choses, pris plaisir à croiser les noms de certaines personnalités de cette époque (dont Mme de Sévigné).
J’ai aussi intéressée par la couverture, pour m’être intéressée récemment au style pictural des vanités. Eh bien, je trouve cette couverture purement ornementale, finalement pas judicieusement choisie.
Cependant, comme Leiloona, j’ai été ennuyée par la linéarité du récit. Aucune mise en intrigue, aucun effet de style ni de narration. Résultat : je me suis ennuyée. Je n’ai lu ce livre jusqu’au bout que pour vous en faire le compte-rendu.
En définitive, je chercherai un autre ouvrage traitant de cette période passionnante et effroyable à la fois.
5 réflexions au sujet de “La chambre ardente de Max Gallo”