Dans le cadre de la lecture commune du Blogoclub, j’ai décidé de faire une relecture. J’avais découvert Onitsha lors de mon année de licence à la fac. Cela faisait longtemps que j’avais envie de le relire. C’est chose faite.
De quoi ça parle :
Fintan et sa mère Maou prennent le bateau pour aller retrouver Geoffroy au Niger, à Onitsha. Fintan n’est pas pressé de retrouver ce père qu’il ne connaît pas.
La première partie raconte le voyage en bateau vers cette nouvelle vie.
Puis c’est le récit de la vie à Onitsha, de la difficulté à s’intégrer. Maou et Finatn ne supportent pas l’esclavage et la mentalité coloniale. Geoffroy est peu présent et obnubilé par ses recherches de la reine Meroë. La vie est de moins en moins facile, la présence et les idées de Maou gênent les colons. Et la disgrâce guette Geoffroy…
Ce que j’en ai pensé :
Il y a une dizaine d’années, j’avais beaucoup aimé ce roman. J’aime l’écriture de Le Clézio, tout en images et en sonorités. Toutefois, dix ans après, je ne retrouve pas les émotions que je pensais avoir gardées. J’ai relu ce livre jusqu’au bout mais je me suis ennuyée, lisant même en diagonale certains passages. Je suis un peu déçue car je m’attendais à revivre un grand moment.
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